Hier, M. a sauvé la vie d'une trentaine de personnes à l'aide d'une collègue et d'un sac en papier. Je savais que j'avais bien fait de la recruter cette petite ! C.

Aujourd’hui, comme tous les midis, nous sommes en train de déjeuner à la salle de pause avec des collègues. Pour une fois, il y a foule, et au moins une trentaine de personnes  picorent leur repas au gré de conversations plus ou moins détendues. Alors que nous sommes 7 à ma table (oui comme les 7 nains, je vous préviens, je ne fais pas Simplette), une collègue entre dans la cuisine par le stock (le stock se trouve juste à côté de la cuisine, et il y a une porte entre les deux vous voyez ?) et dit soudainement : « Oh ! Une souris ! », l’air de rien.

L'AIR DE RIEN.

UNE BOMBE PAREILLE.

Les fausses dents de ma grand-mère en seraient tombées.

Là, tout le monde la regarde un peu surpris, et en effet, une petite bêbête à poils gris se faufile jusque sous notre table (comme par hasard elle choisit la nôtre hein). Du coup, avec F., une collègue, nous décidons d’observer la bestiole.

Première remarque : ce n’est pas une souris. Plutôt un croisement entre une souris, une musaraigne et un mulot. Une souris avec une queue plus courte et un looong loooong nez quoi. Puis elle a l’air jeune. Mais pas bébé non plus. Une souris-musaraigne-mulot adolescente quoi.  A peu près.

On chope alors un sac en papier pour essayer de la mettre dedans et pouvoir la sortir avant que tout le monde ne panique. Vous croyiez qu’on allait lâchement l’abattre la pauvre bête ? Bah non. Nous avons un cœur. Evidemment, absolument TOUT LE MONDE a les yeux fixés sur nous, l’air de dire « Chopez moi ce truc avant que je ne décède subitement d’un arrêt cardiaque ». Mais Roger avait plus peur que nous, j’vous le dis. Oui parce qu’entre temps, je l’ai baptisée Roger. Oui, j’ai décidé que Roger était une fille. Et alors ?

Alors que notre première tentative de capture, échoue lamentablement, Roger se réfugie derrière la porte, pile entre l’encadrement et la porte, de sorte qu’on ne peut pas la déloger, même en lui poussant gentiment l’arrière-train. Il ne faut pas non plus fermer la porte, au risque de l’écrabouiller, donc nous bloquons la porte avec une chaise. Du coup, en attendant qu’elle se décide à bouger, on est retourné s’asseoir pour manger (ben oui on a la dalle merde quoi, on déconne pas avec la bouffe).

Petit détail qui a son importance : pendant toute la séquence de première tentative de capture, un des chefs nous regardait faire genre « Oh elle est mignonne la bêbête » comme si c'était un déjeuner-spectacle, et nous, on se disait intérieurement « Tu veux pas plutôt NOUS AIDER au lieu de regarder comme un teubé ? ». Mais non. Il n’a pas bougé le petit orteil à la rescousse de pauvres damoiselles en détresse. Oui parce que sur les 30 personnes présentes, il y avait 28 filles. Les mecs eux, n’ont même pas daigné soulever un sourcil pour nous filer un coup de patte. Mais passons.

Environ 5 minutes plus tard, voilà Roger qui fait son grand retour sous notre table. Là, petit mouvement de panique dans l’assistance, des « AAAAAAh » et des « OOOOh » se font entendre. Là-dessus F. les rassure « Vous inquiétez pas, on gère ! ». Je bloque Roger avec mon pied le long du mur le temps que F. chope le sac en papier pour sauver Roger. Une témoin de la scène s’approche un peu « Oh mais en fait elle est toute petite ! ». Tu m’étonnes, perso, j’ai jamais vu de souris de 5 Kg. Là on entend des « Faites attention !!! ». On sait jamais, des fois qu’elle nous saute à la gorge pour nous arracher la carotide à coup de mini crocs et de s’en faire une ceinture souvenir…

Je prends alors les choses en main et dispose le sac en papier pile sur la trajectoire de Roger pour qu’elle entre dedans, mais Roger n’est pas con, elle fait demi-tour. Là-dessus F. bloque le passage avec son pied et lui donne des petits à-coups au derrière pour lui signifier « Va dans le sac Roger, c’est pour ton bien, j’te promets ». Pauvre Roger crie « Gniiiihiiihiiii », le genre de truc à vous péter un tympan, ça brise le cœur franchement. Elle ne comprend pas qu’on veut l’aider. (Tu m'étonnes, deux gonzesses qui se la jouent Koh Lanta dans une salle de pause, c'est une vision d'apocalypse).

Et là, au bout de quelques secondes de bataille, miracle, Roger ENTRE DANS LE SAC. Je ne l’avais même pas vu rentrer dedans tellement c’est allé vite. F. chope le sac, je la suis pour lui ouvrir les portes et relâcher Roger à l’extérieur où elle sera plus à l’aise qu’au milieu d’une bande de tarés en train de déjeuner. En revenant, applaudissements, toussa toussa, "BRAVO" à tout va. Et ouais, on a la classe, ou on l’a pas.

Et sans une égratignure pour Roger ou pour nous-même.

Voilà quoi. Moi, ce que j’ai aimé, c’est observer le comportement des gens dans ce genre de situation, et j’ai pu apercevoir différentes catégories de personnes :

-           Ceux qui font quelque chose pour aider la bestiole (oui parce que les gens j’en avais rien à foutre, j’avais surtout pitié de la ptite bête qui avait rien demandé à personne et qui couinait "Gniiiiihiiiihiiiiii" parce qu’elle savait pas ce qu’elle foutait là), dont font partie F. et moi-même. Bravo nous.

-          Ceux qui ont la trouille sans savoir pourquoi « Ah mais elle fait pas peur en fait ! ».

-          Ceux qui ont la trouille tout court parce que les souris ça fait peur puis c’est tout.

-          Ceux qui continuent de déjeuner comme si de rien n’était, hier pendant leur pique-nique dans l’herbe ils ont vu un python carnivore manger leur chihuahua alors c’est pour dire, ta souris-musaraigne-mulot ils s’en tapent comme de l’an 18.

-          Ceux qui regardent absolument TOUT ce que tu fais mais qui se bougent pas le cul pour donner un coup de main et qui te regarde courir après la bête comme un éléphant au milieu d’un abribus blindé de rats.

Tout ça pour dire que Roger va bien, les 30 personnes aussi, et que pour une fois, y’a eu de l’animation à midi !  Youpi ! N'empêche que pendant ce petit quart d'heure de gloire, je me sentais limite investie d'une mission pour aider de pauvres âmes en peine. Pendant 30 secondes, j'étais dans la peau d'Indiana Jones. Ou de Denis Brogniart. Au choix.

Drôlement vôtre, 

M. ze super-warrior-de-la-mort-qui-tue-tout-même-ce-qui-est-déjà-mort-sauf-les-souris-musaraignes-mulots

M. revient pour de nouvelles aventures avec son Namoureux. Moi j'vous le dis, il va devenir célèbre ce mec ! Il n'en rate pas une... C.

Là, il faut vraiment que j'vous raconte.

Vous aviez sans doute déjà remarqué que mon Namoureux était un peu "particulier" (scandale du shampooing pour rappel), disons-le comme ça. Mais bien entendu, c'est ce qui fait tout son charme. Il a beau être bourré de plein de qualités vachement trop géniales, il a aussi des défauts. Et l'un de ses défauts, est d'être hypocondriaque. Mais level 10 sur 10 quoi. Ou presque.
Ce week-end, alors qu'il avait un rhume, et je le répète : ce n'était bien qu'un SIMPLE RHUME, j'ai cru qu'il allait en mourir. Vraiment. Entre les "Aaargh" et les "J'ai maaaaal", y'avait de quoi s'inquiéter, la pile de mouchoirs au sol s'amonçait grandement d'heure en heure. Vous voyez le dessin ?

Samedi soir, alors que nous discutions cinéma entre deux éternuements et deux "J'ai mal au foie je suis sûr que j'ai une hépatite C couplée au VIH avec un carcinome mortel de stade 12 vas-y tâte mon foie et dis-moi que y'a pas de bords tranchants" (j'vous jure il me le fait toutes les semaines ça), le Namoureux est allé se chercher un verre d'eau à la cuisine (ou je ne sais plus quoi d'autre, mais peu importe). Une fois de plus, il se met à râler contre Ryan Gosling alias "L'autre con" (ne l'écoute pas Ryan, je t'aime) parce que j'ai osé versé quelques larmichettes devant "The Notebook" la veille au soir. INSENSIBLE ! Ce film arracherait des larmes à Stallone, j'en suis certaine ! (et sans tricher en lui arrachant un poil de fesse à la pince à épiler). Là, donc, je lui dis mot pour mot "Oui mais toi, tu es un sans-coeur !".

ET BEN QU'EST-CE QUE J'AI PAS DIT COMME BÊTISE LES ENFANTS !

MAMA MIA JESUS MARIE JOSEPH ET ROBERT.

Il s'arrête net dans son élan, et se met la main sur le coeur tel Napoléon Bonaparte, concentré tel de l'eau de javel à 100%.
Il reste ainsi quelques secondes, sous mon regard interrogateur, avant de s'exclamer "Mon coeur ne bat plus !". Évidemment, je me dis intérieurement "Ouate ze Phoque", et je réponds "COMMENT CA, ton coeur ne bat plus ?". "Ben y'a rien... pas de battement... je crois que je suis mort".

Oui bien sûr, et le papier d'alu il met la marmotte dans le chocolat.

Il se rassoit à mes côtés sur le canapé, toujours la main sur le coeur.

"Non mais je plaisante pas, il ne bat pas !", me crie-t-il, paniqué.

Je prends donc mon courage et mon désespoir à deux mains, et je pose ma main sur son coeur. Bon avec 3 couches de pull c'est pas évident-évident donc je vais jusqu'à mettre ma main SOUS les 3 couches de pull (privilège de la Namoureuse). Et là, ben, comment dire... "Il bat normalement ton coeur".
"NON TOI T'ES PAS UNE PREUVE, IL BAT PLUS JE TE DIS !".

Je ne suis pas une preuve, ok. BIM dans ta face.

Là il se lève, et se met à courir sur place comme un déluré pendant 30 secondes. "JE VAIS LE FAIRE ACCÉLÉRER TU VAS VOIR IL VA BATTRE !!!"

Oui oui, BIEN SUR. Bien sûr.

Autant vous le dire tout de suite, un éléphant en string rose chantant du Bob Marley serait entré dans le salon au même moment que ça n'aurait absolument rien changé. J'étais en train d'halluciner, c'était pas possible autrement.

J'ai même pas osé rire sur le coup, tellement j'étais sur le cul comme on dit.

Il se rassoit, il ne sent toujours rien, et il recommence son manège du "je cours sur place comme un con" deux ou trois fois. On sait jamais, desfois que son fainéant de coeur ait décidé de repartir parce qu'en fait il était en RTT aujourd'hui.

Bref... après l'avoir convaincu qu'il ne ressemblait en RIEN à un zombie, et que DONC PAR CONSÉQUENT son coeur battait (mais j'ai eu du mal à le convaincre, il est trop suspicieux), je me suis bien foutu de sa gueule.

Et vous savez le pire dans l'histoire ?

Monsieur est docteur. En biologie.

...

Et c'est moi la cinglée ?

Bon, je dois y aller, monsieur a mal à la tête, il soupçonne une encéphalite suite au MEV-1 parce qu'en fait le rhume que je lui ai filé c'était pas un rhume et j'étais la patiente zéro d'une nouvelle maladie inconnue (je savais qu'on aurait pas dû regarder "Contagion" hier soir, damned !).

Ouais, le rhume il venait de moi, il a déjà failli me renier une bonne dizaine de fois.

Drôlement vôtre,

M.

Alors là, j'ai une furieuse envie de danser et de swinguer jusqu'à pas d'heure ! A cause de qui ? De M., qui se tape un délire. Encore. C.

Hey les jeunes ! La forme ou quoi ? Ici ça gazouille graaaaaaaaaaaaaave ! Aujourd'hui, je pète la forme, mais je ne sais pas pourquoi. Il y a des jours comme ça, où la vie est belle, les oiseaux font cui-cui et le soleil brille au fond de mon coeur ! J'ai envie de sauter par la fenêtre, et de m'envoler en chantant des chansons Dysney ! Et heureusement qu'il y a des jours comme ça, ça fout une sacrée patate au moral, et je suis persuadée que le fait d'être de bonne humeur rend son entourage maussade un peu plus heureux. Non ?

C'est bientôt le printemps, alors j'avais envie de vous parler de choses légères. Et aussi de vous faire un peu marrer. Ben oui quoi, cet hiver, ça fait juste 3 ans qu'il dure, alors on en a un peu raz le bonbon de déprimer du slip Snoopy. C'est pourquoi j'ai décidé de mettre un peu de joie et de gaieté dans votre vous même intérieur du dedans. Et ça ne peut se faire sans musique, et pour ceci j'ai choisi un tub INCONTOURNABLE des années 80. Vous le connaissez certainement, mais peut-être n'avez-vous jamais visionné le clip... et ça, c'est un CRIME. Vraiment. Tellement ce clip il est chelou, tellement il regorge de pépites en tous genre (tant vestimentaires, que capillaires, que chorégraphiaires), tellement qu'on se marre dès les premières notes.

Avant toute chose donc, voici donc le clip de Wham (vous savez, le groupe de George Michael) avec "Wake me up, before you go go !" :

Wham - Wake Up Before You Go

Ca décoiffe le frifri hein ? Je vous vois remuer du popotin !

Déjà, dès les premières images, George est concentré, George bat le rythme en claquant des doigts, George, on sent qu'il va se lancer dans une chanson endiablée. Et on n'est pas déçu. Loin de là. Pour l'accompagner, admirez les "Whamette" (les whamette de papier... AHAHAHAH, pardon, promis, je la ferais plus), qui dansent fièrement à coup de OUHOUH et de YEAHYEAH, avec des robes dignes du plus beau Kiabi de France et de Navarre. C'est pas juste la classe ? Ca met dans l'ambiance, le public est déjà en folie alors que George est très loin d'avoir commencé le show, le vrai. George fait des bonds, le guitariste fait des bonds, George regarde droit dans la caméra, il fait l'amour à la caméra, il est persuadé qu'il est sexy. Et vas-y que je tape dans les mains fièrement et que je sautille tel un cabri apercevant un brin d'herbe bien vert en plein désert.

Et honnêtement, il se déhanche plutôt bien le George dans sa petite tenue toute blanche hurlant "CHOOSE LIFE" ! Lui aussi il déborde de bonne humeur, et ça se voit. Le public est déchainé, il bat la mesure les bras en l'air, et là, le refrain arrive. George est électrique. George est euphorique.

Attardons-nous DEUX SECONDES sur sa coupe de cheveux : mi MacGyver brushingué, mi Jean Sarkozy sortant de chez le coiffeur. C'est pas juste un peu too much ou c'est moi ? Bon OK, à l'époque, c'était à la mode. Mais sérieusement les filles, vous pourriez sortir avec un mec coiffé comme ça ? NON. Même pas en rêve. Même si c'est le sosie de Paul Walker. D'ailleurs Paul, si tu me lis, ne te coiffe jamais comme ça, tu ferais du mal à mon petit coeur qui bat pour toi.

Ensuite, c'est le drame.

A 1 minute 06 à peu près, c'est le changement de costume. Là, on a juste envie de se dire OUATE ZE PHOQUE. George, il faut que je parle à ta costumière TOUT DE SUITE. Qu'est-ce que c'est que ce short ??? Sérieusement ? Déjà, elle avait pas assez de tissu pour en faire soit un bleu soit un blanc, donc elle s'est brillamment dit : "Oh ben tiens, on va mélange les deux". Très mauvaise idée. Et je ne parle même pas du sweat-shirt. Ca se passe de commentaires. Il avait froid des bras et pas des jambes c'est ça hein ? Et alors le guitariste là, c'est quoi cette casquette ? Y'a des gens qui ont vraiment porté ça ?

D'ailleurs George irradit tellement que dans le public, y'a des gens qui ont des lunettes de soleil. Je soupçonne le costume d'être radioactif. Mais tout ça est bien vite oublié, lorsque à 2 minutes 12, George, son copain casquetté chez Monoprix, et deux Whamettes se prennent pour les Spice Girls avant l'heure. Youhou on passe les bras par dessus la tête en sautillant comme des guediiiiiiiins ! Sexyness : zéro, ridiculité : 1.

Après, en gros plan, quand il fait genre "Il fait froid je tiens mes bras pour pas qu'ils tombent", on se rend compte que George a des mitaines douteuses, mais il a un sourire Colgate ultrabright, je suis jalouse. Ca défonce tout.
Puis vient l'effet boite de nuit et couleurs néons et fluos à gogo. J'hésite à commenter, est-ce nécessaire ? Je crois que vous avez compris l'essentiel. Lunettes, sourcils qui brillent dans le noir, toussa toussa. Hum.

Petit message perso pour N. : je te vois bien avec des tentacules de poulpe qui brillent dans le noir comme la Whamette tout à gauche. Ca déchirerait.

Le clip se termine sur George Michael et ses copines qui font la danse des canards, mais à ce stade là, ça ne choque plus personne. Et avec tout ça, j'ai même pas parlé des paroles. Ca sera peut-être pour une prochaine fois.

Drôlement votre,

M.

Hier, le 8 mars, s’est déroulée la journée internationale de la femme, vous n’avez sans doute pas échappé à cette info. Comme nos blogueuz sont des femmes (et qu’elles ne m’ont pas laissé le choix), j’ai décidé de les mettre à l’honneur aujourd’hui en récoltant leur avis sur ce jour un peu particulier. Petite interview. C.

Que représente le 8 mars pour vous ?

S. : Ça ne représente rien de particulier pour moi, tout comme la fête des mères, je trouve ça très artificiel et sans grand intérêt.
M. : Pas grand chose à vrai dire. Pour moi, c’est un jour tout à fait comme les autres, à part que tout le monde parle de la journée de la femme sans se poser forcément les bonnes questions.
N. : La journée du 8  mars ne représente pas grand-chose pour moi : je trouve que lors de cette journée il ne se passe rien… Aucune action n’est vraiment menée dans le monde pour les femmes qui sont dans des situations inconfortables, ni pour l’égalité homme femme…
M. : Là je ne suis pas du tout d’accord avec N., plein d’actions sont menées, mais il est vrai qu’elles sont quasiment invisibles dans les médias. Ce qui est fort regrettable...


Avez vous fait quelque chose de spécial en cette journée de la femme ?

S. : Ce 8 mars, j'étais en congé, une simple coïncidence, et j'ai pu profiter de mes enfants ! Nous avons fait une petite excursion à Karlsruhe, en Allemagne, pour une journée shopping comme les affectionne ma fille aînée.
M. : Absolument rien étant donné que je travaillais. Et puis je ne vois pas pourquoi il faudrait faire quelque chose de spécial ce jour là. C’est une journée destinée à luter contre les inégalités hommes/femmes dans le monde, une journée pour penser que les femmes n’ont pas les mêmes droits partout dans le monde, pas une journée style fête des mères. Les femmes sont à l’honneur, il faut en parler, mais c’est tout.
N. : Une journée ordinaire : Je me suis levée, je me suis rendue à mon  travail, j’ai traité mes dossiers sans aucune compassion de mon boss et de mes collègues mâles… Non non, je n’ai pas trouvé de bouquet de fleur à mon bureau et encore moins un mail m’annonçant une prime en l’honneur de cette journée.
Par contre des chaînes de sms très lourdes du genre : « 8 mars ! La femme est la plus belle des créations !! Elle pleure quand elle est heureuse et rit quand elle a peur. Son amour est inconditionnel ; il n y a qu'une chose qui ne va pas, elle ne sait pas ce qu’elle vaut… Cette femme c’est toi…  Passe le sms à toutes les femmes de ton répertoire… »

Cependant le soir pendant mes courses, je croise dans le parking un monsieur d’une cinquantaine d’années avec un gros gros et magnifique exceptionnel bouquet de fleurs que je regarde avec envie… Et là je ne peux m’empêcher de lui dire :
« Monsieur votre bouquet est très beau c’est pour votre femme ? »
Il me répond d’une évidence :
« Bien entendu  c’est la journée de la femme... »
Je le regarde et je lui dis :
« Vous direz à votre épouse qu’elle a bien de la chance », ce gentil monsieur me regarde en souriant  et me dit : « Je lui dirai, mais ne vous inquiétez pas ça viendra aussi pour vous, il suffit de choisir le bon… »
Après cet échange je me dirige vers ma voiture avec le cœur plein d’espoir, et là ce monsieur s’arrête à ma hauteur et me donne une rose retirée du bouquet de sa femme.
Eh  oui !  Je lui ai dit en acceptant sa rose :
« Monsieur vous direz à votre femme que sur ce coup là, elle a tiré le gros lot !! »


Une bien belle anecdote ! Merci à toi N. pour ce partage, j'en suis tout chose.

Ne faudrait-il pas créer la journée de l’homme (pour être parfaitement équitable) ?

S. : Une journée de l'homme, manquerait plus que ça non ? Si il y a UNE journée de la femme, ça veut dire que tous les autres jours sont ceux de l'homme !
M. : Techniquement, si on veut vraiment l’égalité parfaite, j’aurais tendance à dire que oui. Mais faut pas déconner non plus hein, les hommes, ils ne sont pas autant discriminés que les femmes. Et puis si on leur créé une journée, vous allez voir qu’ils vont réclamer des cadeaux et de glander encore plus que d’habitude, on les connaît, donc je m’y oppose.
N. : Les droits de la femme passent souvent après les hommes. Il y encore beaucoup de travail pour une égalité au niveau des salaires et des postes... Et j’en passe… Et puis encore quoi la journée des hommes ! Un jour férié en l’honneur des hommes ?


Personnellement, je ne serais pas contre, mais n’énervons pas ces douces demoiselles, ou elles pourraient se transformer en dragons.

Bisous les choupinous !

C.

Ca y est, M. a craqué, elle va vous parler de séries, enfin d'une en particulier, et quand elle commence, on ne l'arrête plus. A vos risques et périls ! C.

Si vous êtes un Series Addict, un pur et dur, un vrai de vrai, élevé au Prince de Bel Air et à Parker Lewis, que vous connaissez Bryan Cranston ou Frances Conroy sans avoir à Googler ou à IMDBer leur nom, vous devez probablement avoir entendu parler de ce petit bijou anglais qu’est Misfits. Et si vous n’êtes pas Series Addict, et que vous ne connaissez pas Misfits, et bien voici l’occasion de découvrir cette série un peu hors norme, et très, mais alors très drôle (et attention, c’est de l’humour certifié décapant en boîte).

De quoi ça parle ?

Hé bien pour faire court, ça raconte l’histoire d’une bande de 5 jeunes délinquants, anglais donc, arrêtés pour possession de drogue, conduite sous l’emprise d’alcool ou bagarre, et qui se retrouvent à faire ensemble quelques semaines de travaux d’intérêt généraux. Jusque là, rien de bien passionnant. A ceci près bien évidemment que ces jeunes n’ont ABSOLUMENT rien en commun, et qu’ils ne sont pas fait pour s’entendre. Lors de leur premier jour de travail, alors qu’ils sont occupés à repeindre des bancs (on aurait pu trouver pire comme boulot, mais pour un premier jour, il ne fallait pas trop les brusquer), un violent orage éclate et des grêlons de la taille de l’iceberg qui a coulé le Titanic himself tombent sur la ville. Autant dire qu’il faut courir très vite pour penser y échapper. Alors qu’ils tentent de se mettre à l’abri, une sorte d’éclair mystérieux les envoie valdinguer dans les vapes, et à leur réveil, ils vont tour à tour se rendre compte qu’ils sont chacun affublés d’un étrange pouvoir… et le pire, c’est qu’ils ne sont pas les seuls (ça serait trop facile hein).

Bon alors là, tout de suite, on pourrait se dire que les histoires de super héros, c’est vu, vu et revu, archi déjà vu. Et bien non ! Car ces jeunes, sont loin d’être des modèles pour les autres. Ils ne vont pas forcément utiliser leurs pouvoirs pour faire le bien, et ils ne vont pas en profiter pour frimer en slip moulant (vous êtes déçus hein ?). Ils vont avant tout chercher à se protéger mutuellement, apprendre à se connaître, et il en résulte en somme une belle histoire d’amitié (et d’amûûûr-le-vrai-l’unique-tout-ça-tout-ça) et de découverte malgré les différences qui les séparent.  Et par dessus tout, la série est DROLE ! Les personnages sont plein d’humour, cyniques, atypiques et parfois complètement barges, en plus d'être des boulets sur pattes (mais genre High Level quoi, que même Mister Bean il a du mal à arriver à leur hauteur). Mais qu’est-ce qu’on les aime bon sang.

Qui sont-ils ?

Tout d’abord il y a Nathan (interprêté à l'écran par Robert Sheehan). Grand maigrichon arrêté pour une raison stupide (non, je ne vous dévoilerai pas ici cette raison, regardez la série), il est un peu le comique de la bande. Il a toujours le mot pour rire ou l’insulte un peu louche à la bouche (pour ma part Melon Fucker est maintenant entré dans le langage courant). Il se fout de tout le monde, et surtout de lui-même. Personne ne doit lui dire ce qu’il a à faire, et certainement pas leur agent de probation. Honnêtement, la série vaut le coup d’être vue rien que pour lui. L’acteur est tout simplement excellentissime et il est rare de voir un personnage aussi vulgaire et aussi drôle à la fois. Déconcertant. Vraiment.

Ensuite il y a Kelly (Lauren Socha), une dure à cuire à l’accent très étrange. Elle se comporte un peu comme un mec (jamais la dernière à chercher à la bagarre et à donner des coups). Elle s’entend à peu près avec tout le monde, et ne manque pas de remettre Nathan en place quand cela est nécessaire. Et je ne vous cache pas que c’est TRES souvent le cas.

En troisième position nous retrouvons Curtis (Nathan Stewart-Jarrett), ce grand black à la coupe de cheveu très tektonik (Vivel Dop staïle vous voyez le genre ?) est un ancien sportif de haut niveau qui a tout perdu suite à son arrestation vu qu’il ne pourra pas participer aux prochains jeux olympiques (qui doivent justement avoir lieu en Grande-Bretagne, c’est trop pas de bol). C’est un personnage plutôt posé, calme mais qui peut vite s’énerver si on touche à quelque chose auquel il tient.

Après il y a Alisha (Antonia Thomas). Le parfait cliché de la pouf qui a tendance à foutre les nerfs à n’importe qui (même à Paris Hilton) tellement qu’elle est belle, tellement qu’elle est bien foutue, tellement qu’elle le sait et tellement qu’elle le fait remarquer à tout le monde. M’voyez ? Chewing-gum en bouche, vas-y que je me tortille une mèche de cheveux en te lançant un regard condescendant. Pas besoin de vous faire un dessin. Oui mais Alisha, c’est plus que ça. Alisha, elle a un cœur (un vrai et tout, qui fonctionne). Sans elle, ça serait pas pareil.

Pour finir, nous avons Simon (Iwan Rheon). Comment dire… ce personnage est d’une complexité rare. Jeune homme parfaitement coiffé (pas un millimètre de cheveu qui dépasse), et parfaitement coincé, il est très timide et à la fois très déstabilisant. Son regard perçant bleu azur aux tendances parfois psychopathes (sisi je vous jure, un regard de psychopathe, ça existe !) vont vous faire trembler  l’espace d’un instant, puis fondre la minute d’après. Le parfait gendre idéal un peu revisité quoi. Pour tout vous dire, j’en suis tombé complètement amoureuse (*dédicasssss' perso* Pachy, elle est pour toi celle-là)… et pourtant, il est très très éloigné du stéréotype du mec qui me plaît (et vous allez toutes en tomber raides dingues ! On pourra pas dire que j’vous ai pas prévenues !).

Je ne vais pas vous raconter toute leur vie, il n’y aurait plus aucune surprise. Mais sachez que les personnages sont tous très bien écrits, et leur évolution au fil des épisodes est spectaculaire (ce qui a tendance à se faire rare dans les séries, et c’est ce à quoi on différencie une bonne série d’une très bonne série selon moi). Les histoires de chaque épisodes sont toujours bien trouvées, souvent drôles, et nos 5 anti-héros vont vous faire vibrer au rythme de leurs aventures toutes plus rocambolesques les unes que les autres. D’autant plus que les saisons ont tendance à se terminer en queue de poisson avec des retournements de situation spectaculaires, à en faire pleurer sa mère à Stallone. C’est pour dire.

La série créée par Howard Overman en 2009 est pour le moment composée de 3 saisons (6 épisodes pour la première, 7 pour la seconde, 8 pour la troisième), la quatrième étant attendue pour la fin de l’année (vite, vite, on attend la suite !).

Il y a encore énormément de choses à dire sur cette série, notamment en ce qui concerne la musique (du générique et des épisodes), mais je laisse ça à un peut-être futur article potentiel. Je ne vais pas vous saouler avec des articles de 15 pages dès le début.

Une chose à retenir donc : REGARDEZ MISFITS (ou la foudre s’abattra sur vous !).

Drôlement vôtre,

M.

Nos 3 blogueuz ont décidé de mettre vos papilles à rude épreuve aujourd'hui. Si vous n'avez pas faim, vous pouvez lire cet article. Ou pas. C.

Mr Bagelstein a enfin publié la recette de son Bagel de mars, et nous les trois drôles de blogueuz avons pris les devant en décidant de le tester sur le champs ! Et comme on fait presque partie de la famille, voici donc un petit récapitulatif de notre périple au doux pays du Bagel.

Le bagel du mois est donc composé de : Pain au Ras el Hanout, viande kebab veau et volaille, cream cheese au houmous citron et coriandre, oignons et choux rouges, salade, sauce blanche. Ca émoustille vos papilles non ? En résumé, les saveurs turques sont à l’honneur en mars ! Et ce, pour notre plus grand plaisir. Voici donc notre avis sur ce Bagel pour le moins coloré. 

Oui, le pain est vraiment jaune.

L’avis de S. : «Il est franchement très réussi ce bagel du mois, le pain est excellent, épicé juste ce qu’il faut, la viande est tendre et pas sèche. En  grande mangeuse de houmous, je trouve l’idée du mariage avec la cream cheese une très bonne idée, et en plus il y a de la coriandre \o/. 

Petit bémol : pourquoi mettre de l’oignon rouge et du choux rouge, le chou est cru et n’apporte aucune saveur supplémentaire : il aurait mérité d’être mariné !

Il n’empêche que je vous le conseille ce Bagel car il est excellent ! »

L’avis de M. : « Pour ma part, j’ai A-DO-RE le pain ! Moi qui aime les saveurs épicées, je l’ai trouvé vraiment fantastique et original. De plus, il se mariait très bien avec la sauce. Un vrai régal ! Moi qui raffole de viande, j’avais hâte de voir un Bagel carnivore au menu (et un truc qui change du simple poulet). Voilà chose faite.

J’ai eu un peu peur au premier abord en voyant le chou rouge dans la recette étant donné que je ne suis pas très fan de ce légume, et au final, je trouve qu’il ne se sent pas du tout. Du coup, on peut se demander s’il apporte effectivement vraiment quelque chose au Bagel. Mais cela ne reste qu’un détail. »

Comme nous sommes gourmandes, et qu'on aime tester les nouveautés qui risquent de nous faire frétiller tous les sens, nous avons également testé deux nouveaux desserts de chez Bagelstein. Tout d'abord, la verrine fromage blanc, sauce chocolat et concassé d'Oréo.

L'avis de N. : "Je suis une très grande fan de Bagel , je vendrais père et mère pour un Léontine ou un cheesecake, mais là c’est la déception au niveau de mon dessert  (je n'ai même pas voulu retenir son nom) Verrine de fromage blanc , sauce chocolat et concassé d'Oréo … Je vous raconte pas ma joie de le déguster et là, dès la première bouchée j'ai senti de l’Oréo mouillé (beurk) et un goût très fort en cacao noir (re-beurk). La sauce chocolat a du prendre la fuite …

J’ai alors décidé de ne pas me fier à ma première impression, et j'ai donc réédité l'expérience pour une seconde bouchée mais sans succès. Oui, Bagelstein, même si tu es de la famille, sur ce coup là je suis complètement déçue…"

Deuxièmement, M. a testé pour vous le nouveau Donut chocolat et noisettes.

Oui, il est vraiment rayé.

L'avis de M. : "Que dire sur ce splendide Donut... bon, évidemment, il est comme tous les Donuts : une sorte de pâte à beignet avec un trou au milieu, avec du sucre glace rigolo sur le dessus (des rayures pour celui-ci). Et à l'intérieur... hmmm... le donut est en fait fourré à la pâte à tartiner chocolat-noisettes, vous voyez sûrement de laquelle il s'agit. Ce n'est pas un secret, le tout se marie très bien ! Si vous aimez le chocolat, foncez !

Le seul petit point négatif : c'est un peu trop sucré, mais je suis pas particulièrement fan de sucré à la base, donc c'est parfaitement excusable. C'est très très bon, bien que mes cuisses ne soient pas tout à fait d'accord."

Alors, ça vous donne envie de découvrir l'univers du Bagel ou pas du tout ?

Nous, c'est sûr, on y retournera ! (On fait déjà partie des meubles, en fait.)

S. N. et M.

Et voici les news de la semaine commentées par M., hip hip hip, hourraaaaaaa ! C.

Jeannot ! Jeannot ! Jeannot !  C’était bien évidemment LA news de ce début de semaine, notre Jean Dujardin national a raflé l’Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans « The Artist ». Je n’avais donc pas de souci à me faire sur sa défaite des Césars… un Oscar, ça claque encore plus sur la cheminée ! Et puis en plus, il a foutu la pâté à George Clooney. Si ça c’est pas la totale classe, what else ? Puis son petit discours de remerciement à base de « Ouah putain génial », ça déchire sa maman. C’est tout.

En parlant ciné, justement, le petit Jeannot a bien choisi sa semaine pour sortir son film coréalisé avec son poto Gilles Lellouche : « Les Infidèles ». Je n’ai pas encore eu le temps d’aller le voir, mais j’ai vraiment très très envie d’y courir ! Tout d’abord parce que j’aime Jean Dujardin, j’aime Gilles Lellouche, et j’aime d’amour Guillaume Canet (qui apparaît dans le film, c’était mon instant groupie). Et ensuite parce que c’est la première fois qu’un film français sort sous forme de film à sketchs. C’est à dire que plusieurs histoires s’enchaînent, avec des personnages différents, parfois des acteurs communs, et à chaque fois un autre réalisateur. Leur seul point commun, le thème, à savoir, les hommes infidèles. Je trouve ça très intéressant d’aborder un même sujet sous plusieurs angles, puis avec cette équipe de joyeux lurons surdoués, ça ne peut être que très bon et très drôle. Voici la bande-annonce pour celles et ceux qui ne l’auraient pas encore vue (oui parce que du coup on y a eu droit à toutes les sauces dans toutes les émissions de la semaine, Oscar de Dujardin oblige, y’a pas à tortiller du popotin, ça leur a fait une sacrée pub) :

LES INFIDÈLES : BANDE-ANNONCE de Jean Dujardin, Gilles Lellouche...

On peut également signaler que Michel Hazanavicius (réalisateur de The Artisit, les OSS 117...) et donc oscarisé lui aussi, a réalisé l’un des sketchs. Mais Guillaume, je t’aime, tu restes mon chouchou de mon coeur ! (et toc).

“In you heaaaaaaaaaaad, in your heaaaaaaaaaaaaaaaaaaaad !” Si je vous chante ça, normalement, vous devriez reconnaître, non ? CA Y EST !! Après des années (et des années, et des années) d’absence (beaucoup trop long), Dolorès et sa bande sont (ENFIN !) de retour avec un nouvel album intitulé "Roses". Je vous mentirais si je vous disais que ça fait pas des lustres que j’attends ça. Les ayant vu en concert il y a de ça un an et demi (instant je me la pète), ils avaient annoncé la sortie prochaine de leur nouvel album. Et en fait, prochaine, ça a duré un an et demi. Je comprends qu’ils aient voulu prendre leur temps, faudrait pas se précipiter et sortir une daube. Pas eux. C’est pas possible. De de que j’ai pu entendre, ça s’annonce bien !  On reconnaît dès les premières notes leur style si particulier. Longue vie aux Cranberries !

Ah et sinon, je suis désolée de vous l'apprendre, mais si vous aviez rêvé de voir Johnny Hallyday en concert à la foire aux vins de Colmar de 2012, ben le concert est complet. Ca y est. That's a shame ! Le reste de la programmation sera dévoilée le 16 mars.

Voilà, c'est tout pour cette semaine. C'est moi ou bien la nouvelle pub Cartier dure juste 27 heures ?

Drôlement votre,

M.

Les boxes beauté, vous connaissez ? N. va vous présenter ce concept très intéressant et vous détailler le contenu de son colis surprise. Qui sait, cela vous donnera peut-être envie de vous abonner ! C.

Coucou les chouchous,

Ce soir je vais vous parler d'un nouveau concept venu tout droit de l‘autre côté de l‘Atlantique. J'ai connu ce concept par le biais de ma chère S. qui l'a découvert en surfant sur la toile pendant une pause déjeuner…

Le concept

Un abonnement à une boite beauté comme on s‘abonne à un magazine, et tous les mois, la box arrive avec 5 miniatures de produits de beauté. Crème, parfums, maquillage… (au petit bonheur la chance). Je dis bien miniature et non échantillon.

Le prix est de 10 Euros par mois, avec 3 € de frais de port en plus. 

Bien entendu plusieurs marques sont apparues sur le marché : il y a la Glossy Box, la Jolie Box , la Precious Box , My Little box  et j'en passe… Donc toute fofolle par cette nouvelle découverte, je décide de m ‘abonner. Mais quel choix faire parmi toutes ces box…

Après des nuits blanches de réflexions, la Glossy box est la révélation… J‘opte  pour cette dernière car lors de l'inscription il y a un profil beauté à remplir. Ca aide toujours à ne pas se retrouver avec une crème anti-rides à 20 ans ou une crème peau sèche quand on a la peau grasse...

Et je me suis surtout abonnée quand j'ai découvert la Glossy box de la St-Valentin… (elle était juste magique), malheureusement je n'ai pas eu le droit à cette box car mon abonnement n‘était effectif que le 18 janvier.

Hier lors de l'ouverture de ma boîte aux lettres, j'ai découvert mon colis Glossy box avec la box "Instant bien-être" que je vais donc vous présenter. 

Jolie boite rose pale avec l'emblème Glossy Box.

L'ouverte de la box  fut plus qu’agréable car une très bonne odeur s’en dégageait…

Un carton de présentation signé la Glossy Team avec les marques et au dos la description et les prix des produits en full size.

Ouverture du papier de soie, et voilà les produits ….

Un shampooing réparateur cellulaire à la technologie acide lactique pour cheveux très abîmés de 100ML (lui va m'être très utile).

Une crème main Payot 15ml.

Un crayon Eyeko skynny eyeliner.

Ravie ravie car  jaime troooop les crayons et surtout le design de celui-ci. Surtout que je ne connais pas du tout la marque !

Un Savon LUSH (Unluck for dirt). Savon antibactérien pour purifier mains et corps à la rose et à l’origan. Il sent très bon…Ca va me changer du gel douche. 

Une offe pour deux colorations dans un salon l'Oréal proposant l’offre pour le prix d'une, et un kit personnalisé pour 1 kit, 3 produits Lush personnalisés pour tout achat en ligne ou dans une boutique.

Voila les loulous, jusqu’au 8 mars 2012, il y a 4€ de réduction sur la Glossybox de mars ("Belle des champs") en commandant sur le site et en indiquant le code promo FEMMES2012.

Attention une commande vous engage à l'abonnement que vous pouvez résiliez bien entendu  15 jours avant l envoi de votre nouvelle box. Je suis satisfaite pour cette première commande d'une valeur de  plus de 13€ mais j attends de voir la suite…

A bientôt les loulous, n’ oubliez pas : "La patience est la meilleure des récompenses".

X.O.X.O

 N.

M. a souvent de petites histoires bien sympathiques qui lui sont arrivées à raconter, et là, croyez-en ma parole d'expert, ça vaut son pesant de cacahuètes ! C.

Alors là, j’en ai une bonne à vous raconter. Si si, vous allez rire. Moi, sur le coup, j’ai moyennement rigolé, il faut bien l’avouer. Aujourd’hui, dans la boîte où on travaille N., S. et moi-même (oui, au cas où vous n’auriez pas tout suivi, nous sommes collègues), est organisée une collecte de denrées alimentaires et autres produits d’hygiène pour les Restos du Cœur. Très bonne initiative, à laquelle je me suis promis de participer. Puis en plus, j’aime ce genre de bonne action, je préfère toujours donner quelque chose en nature que d’envoyer de l’argent qui va servir à on-ne-sait-trop-quoi-au-final-mais-certainement-pas-à-sauver-les-hirondelles-chiliennes-du-grand-requin-blanc. Donc voilà, j’avais décidé d’acheter quelques produits pour fièrement remplir un peu les cartons du boulot. Puis on sait jamais, si un jour je me retrouve dans la panade financière, ben j’aimerais bien que des gens m’aident à m’en sortir.

OUI MAIS VOILA.

Ils ont prévenu de leur action un peu tôt, et donc ce week-end en faisant les courses, ben j’ai honteusement oublié de remplir un peu plus mon caddie chariot (Psst psst pas de marque !) pour les gens en difficulté. Et comme je déteste avoir oublié un truc que j’avais prévu, ben je m’en suis voulu. Mais NO PANIC ! Je me suis dit qu’en rentrant chez moi je trouverais bien des trucs à amener dans mes placards. C’est pas comme si j’avais aucune réserve de quoi que ce soit (AMIS PARANOIAQUES DU MANQUE BONJOUR !).

Donc en rentrant hier soir, je choppe un sac, et zioup, j’ouvre mes placards (oui, mes placards font zioup, et alors ?) pour voir ce qui pourrait se donner et qui se conserve. La recherche fût fructueuse, étant donné que j’y ai trouvé du thon, du maïs, des haricots verts, de la farine… et là, dans un élan incontrôlé de solidarité, je me suis dit « Et les produits d’hygiène alors ? Les gens ont toujours besoin de savon, de shampooing et autres produits folkloriques ! ».

Ni une ni deux, je me rends dans ma salle de bain, et là, c’est un peu l’hécatombe, à part des gels douches entamés et des moitiés de paquets de coton, il faut bien le dire, c’est la dèche ! Alors que mon espoir s’atténue à vue d’œil au fur et à mesure que le temps s’écoule lentement mais sûrement, là, sur l’étagère, une bouteille de shampooing non-entamée trône fièrement au milieu du chaos intersidéral que représente les divers objets posés aléatoirement sur l’étagère. UNE BOUTEILLE PLEINE. MIRACLE.

Contente de moi, je la dépose délicatement et affectueusement parmi mes diverses trouvailles, et je mets le sac bondé aux côtés de mon sac à main pour ne surtout pas l’oublier le lendemain en allant travailler. Que je suis prévoyante ! (Pour une fois…)

Oui mais c’était sans compter sur le Namoureux.

Lorsqu’il est rentré du travail, le Namoureux, je lui ai expliqué qu’il y avait une collecte des Restos du Cœur au boulot, et que comme j’avais oublié d’acheter des provisions, ben j’ai donné ce qu’on avait en stock (pas tout non plus hein, faut pas déconner, en cas de guerre nucléaire je tiens à survivre au moins un tout petit peu).

Bon là déjà il a râlé parce que la boîte de haricots ben c’est du Cassegrain Brisesemence (Psst psst pas de marque !), et que quand-même, c’est pas de la marque distributeur quoi, donc pas pour les pauvres !

Non mais oh mon cher, tu crois que je vais me priver de donner une boîte de haricots verts parce que c’est de la marque ? Tu te fourres le doigt dans l’œil cher ami ! Et bien profond, mécréant ! (Bon dans le fond, je pense qu’il plaisantait, parce qu’il n’est jamais le dernier pour participer à ce genre de trucs en vrai, j’vous assure). Bref… là n’était pas le pire. Lorsqu’il a fouillé dans le sachet pour voir de quoi je nous dépossédais allègrement sans sourciller et sans lui avoir demandé son avis (on sait jamais, il pourrait avoir une furieuse envie de maïs en pleine nuit sans pouvoir y toucher, ça serait malheureux), il y a trouvé la FAMEUSE bouteille de shampooing. Sa remarque ne s’est pas fait attendre :

« Hé ! Mais c’est MON shampooing ».

Oui. En même temps moi j’ai que des bouteilles entamées, et je me vois pas trop leur refiler ça vois-tu… (soyons convenables un peu) donc j’ai pris une de tes bouteilles oui, parce que c’est le seul truc non entamé que j’ai trouvé. DON’T PANIC, je t’en rachèterai la prochaine fois que je ferai des courses. (Avouez que mon argumentation était plutôt pas mal hein ! En plus d’être totalement vraie !).

Et là, il me sort un argument ultime que je n’ai pas vu venir, un de ces arguments dont lui seul a le secret et qu’il sort sans prévenir de derrière les fagots et contre lequel je ne peux malheureusement RIEN FAIRE tellement il me désarçonne… attention…

Le voici…

« Oui mais cette bouteille de shampooing… C’EST SENTIMENTAL ! »

Je répète : SEN-TI-MEN-TAL.

…

Vous aussi vous vous dites Ouate Ze Phoque hein ?

Imaginez-donc ma tête hier soir. DE-COM-PO-SEE. Vraiment.

Mais bon, j’arrive pas à m’empêcher de me dire que : Oui, ben s’il a envie de se laver les cheveux 185 fois cette semaine le Namoureux, ben du coup, il pourra, parce qu’il aura gardé sa bouteille de shampooing pleine.

Conclusion : il est irrécupérable. Je le suis aussi. Mais tout va bien. Les « pauvres » comme il dit auront de quoi se nourrir (un peu) grâce à nous (surtout à moi en fait), mais ils ne pourront pas se laver les cheveux. ILS AURONT LES CHEVEUX SALES A CAUSE DE MOI. Je ne vais pas m’en remettre.

Le Namoureux s’est évidemment empressé d’aller la ranger dans la salle de bain, là où est sa place depuis 1 an et des brouettes (vous avez bien lu), car depuis, monsieur a changé de marque de shampooing et il ne l’utilise donc plus. J’ai plus qu’à lui proposer de construire un autel à la gloire de sa bouteille de shampooing qu’il n’utilisera de toute façon PAS. Vous voyez un peu l’ironie ?

Drôlement votre,

M.

Si vous vous demandiez qui se cache derrière la merveilleuse N., lisez ce qui suit... ce n'est qu'un doux prélude à ce qui vous attend par la suite. C.

Coucou les loulous,

Me voilà, car C. me laisse la chance de m’exprimer sur ce blog qui voit le jour.

Grace  à mes deux acolytes S. et M. j ai cette opportunité de vous parler de toutes mes folies...

Oui oui, vous découvrirez avec le temps qu’en plus d'être blonde insaïde : je suis folle.

Moi, c’est N. : jeune fille intelligente, séduisante, pétillante, ….. et je passe tous les superlatifs vantant ma personne (je ne suis pas modeste pour un sou).

Je vis à Stras car j'aime les strass et paillettes.

J'aime, comme dit notre cher  C., « Les gens beaux et riches, les sacs à main, les chaussures et les bijoux … ».

Je kiffe la life sans prise de tête...

Donc j’alimenterai ce blog avec des rubriques :

- Mode : tendances, chiffons, sacs, couturiers, accessoires...

- Beauté : make up, manucure, coiffures, détente, spa …

Et différentes astuces…

Et, bien entendu une rubrique Z‘amour …

On parlera d'histoires de cœur car je suis une fleur bleue passionnée…

En fait  faut juste comprendre qu’on papotera de secrets de filles...

Je ne vais tout de même pas tout vous dévoiler, patience patience…

N’oubliez jamais que « La hâte est amie de l’échec ».

X.O.X.O

 N.